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STC
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SO du jour

Messagepar STC » 16 févr. 2009, 09:41

un texte du SDAGE prévoit de réduire de 60%
les lachés de poissons venant de pisciculture
sur le bassin Adour Garonne
pour cause de concurrence biologique
entre espèces sauvages et espèces d'élevages
(loi sur l'eau)

a12c4, STC.
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michel
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Messagepar michel » 17 févr. 2009, 15:50

pourquoi pas !!!!
mais le SDAGE est il capable de garantir que pour une reproduction correcte l'eau sera en quantité et qualité suffisante
Par exemple avec la raréfaction des zones inondables le brochet a de plus en plus de mal à se reproduire
les assèchements drastiques(culture mais en particulier )et une qualité d'eau très médiocres(nitrates,pesticides,épandages,vinasse,stations d'épuration insuffisantes ou absentes,"erreurs"humaines ne permettent plus à la faune de 1°C de se reproduire

le SDAGE doit surement penser aux grosses populations de carassins,br^mes,perches soleil,poissons chats qui devraient contenter le pêcheur.

Sans ces apports externes nul doute qu'une partie des ruisseaux de 1°C ,voire de 2°C seraient stériles donc sans activités halieutiques , ce qui sans témoins,permettraient aux autres acteurs de ne plus trouver de contradicteurs et donc de faire ce que bon leur semble

il est vrai que lâcher des truites tac de bassines là où la fario se maintient est une erreur et que alevinages devraient respecter les souches locales
michel
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Bruno
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Messagepar Bruno » 17 févr. 2009, 17:39

rien à rajouter à ce qu'a dit Michel !

Bruno

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Messagepar Bruno » 22 févr. 2009, 23:21

à ce sujet, la Fédération Française d'Aquaculture a mis en place une pétition ! les pecheurs sont directement concernés et ce qui m'étonne c'est qu'aucune allusion n'ait été faite à ce sujet lors de la dernière réunion des présidents, la fédé ne semble donc pas concernée ? :shock:

Bruno

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pike
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Messagepar pike » 23 févr. 2009, 10:53

Une réflexion parmi tant d'autres, susceptible d'apporter un éclairage différent sur ce sujet important et inquiètant .
Bonne lecture

Alevinage : un sujet d’actualité.
Par Roger Bessis et
Membres du CA de la Fédération de Pêche 21

Le Bien Public a passé de nombreuses informations concernant la pratique de l’alevinage. Une quasi interdiction de l’alevinage a été proposée par l’Agence de l’Eau Rhône-Méditerranée. Les pêcheurs ont réagit. Ils sont pour ou ils sont contre, d’instinct, avec peu d’arguments. Ils se placent le plus souvent dans la situation, parfaitement compréhensible, du plaisir d’une prise Et si l’on parlait des poissons.
Il faut rappeler d’abord qu’un milieu favorable est colonisé avec une vitesse stupéfiante par les espèces qu’il est capable d’héberger. Ceci a son corollaire inverse : si le milieu est défavorable on peut toujours y apporter des poissons, ils disparaissent rapidement, en laissant des traces de leur passage. De quelles traces s’agit-il ?
L’alevinage consiste à apporter des poissons. Si ce sont de vrais alevins cela n’est pas trop grave pour le milieu, car dans la très grande majorité des cas ils vont disparaître et s’ils prospèrent c’est qu’il ont leur place, leur niche. Mais le plus souvent c’est des poissons « bons à prendre » que l’on déverse dans le milieu. Dans une pyramide de matière vivante (biomasse) qui va des végétaux vers les herbivores puis les carnivores le rendement de la transformation d’un niveau au suivant n’est que de 10 % environ. C'est-à-dire, par exemple, qu’il faut 10 kg d’herbivore pour faire 1 kg de carnassiers. Les bactéries le plancton, les insectes, les poissons à régime mixte…viennent compliquer ce schéma mais le principe du rendement faible chaque fois que l’on passe d’un échelon au suivant reste valable.
Aleviner c’est apporter des poissons du sommet de cette pyramide car se sont les poissons les plus intéressants. Aleviner c’est donc construire une pyramide pointe en bas.
Est-ce possible ? Est-ce acceptable ? Est-ce souhaitable ? C’est ce que nous allons discuter.

Il devient alors nécessaire de séparer les milieux en deux types.
1°) Ceux qui n’ont pas de prétention à la naturalité soit parce qu’ils sont dégradés soit parce qu’ils sont isolés : milieux fermés, ballastières, sablières, milieux vidangeables que l’on peut gérer, étangs, barrages, où les populations de poissons peuvent être, contrôlées, choisies. Là on fait ce que l’on veut, on met des truites en 2ème catégorie, on charge en carnassiers surdensitaires, on fait plaisir aux pêcheurs qui veulent avoir un poisson au bout de leur ligne, même s’il sort d’une pisciculture. Cela ne fait de mal à personne et permet à l’industrie-pêche, pardon, au loisir-pêche de tourner.
2°) ceux qui ont une prétention à la naturalité et qui s’ouvrent à des pêcheurs souhaitant prendre, ou ne pas prendre, du poisson aussi naturel que possible. Cette prétention est possible pour les milieux de 1ère et de 2ème catégorie. Prenons l’exemple de la Saône, elle contient de l’ordre de 700 kg de poisson à l’hectare soit environ 1000 tonnes pour les 92 km de Côte-d’Or. Les poissons blancs représentent 85 % de ce total. Les carnassiers (silure, sandre, brochet) 15 % environ. Prenons l’exemple du brochet dont la Saône était si riche jusque vers 1980 puis qui a décliné. On veut faire croire que le manque de frayères en est la cause mais dans un simple barrage ou même une sablière le brochet fraye sans problème. Alors ? On alevine en petits brochets (fingerlings, ça fait savant et ça rassure ; ils ont 4 semaines, mesurent 4 cm, ce sont des poissons d’avril)). Depuis le temps qu’on en met, si ça marchait ça se saurait. Les gestionnaires, pour se justifier, nous disent sans arrêt : le brochet revient ; mais il n’en finit pas de revenir. On voit beaucoup de brochetons, quelques gros et entre les deux c’est à peu près le vide. Jusque vers 1980, le sandre et le silure étaient presque inconnus en Saône. C’est une situation nouvelle, évolutive, est-elle suffisamment prise en compte ? Officiellement on nous dit que tous ces carnassiers doivent se développer parallèlement sans se gêner. Voire. C’est confortable mais est-ce efficace ? Naturel ne s’accorde pas avec passéiste.
Cela veut dire qu’il faut prendre ce que la nature nous donne sans chercher à lui imposer nos phantasmes. Deux règles de gestion ont fait leurs preuves : laisser le milieu tranquille pendant la période de fraye et remettre à l’eau les poissons qui ne se sont pas reproduits au moins une fois. Et on ne le fait même pas. D’autres règles permettant d’augmenter la productivité existent aussi (enlèvement des gros sujets, freinage des espèces dominantes) on en est encore loin préférant intervenir avec le coûteux marteau pilon qu’est l’alevinage.

Si dans un milieu on apporte des poissons, voici quelques unes des difficultés qu’on va rencontrer.
- Alimentaire : on surajoute à un milieu en équilibre, qui s’est construit au cours du temps, une espèce qui va déséquilibrer la pyramide naturelle. Tout le monde va avoir faim, y compris les populations autochtones. Même si ce déficit alimentaire est ponctuel il constitue un facteur limitant qui retentira sur la dynamique naturelle du milieu.
- Génétique : les souches qu’on introduit sont différentes, par quelques caractères, de celles qui peuplent le milieu naturel est qui se sont créées sur place par le jeu des adaptations aux pressions de sélection locales. Des hybrides entre souches originelles et apportées vont donner naissance à des individus inadaptés aux conditions du milieu. Des esprits que nous ne qualifierons pas ont même pensé introduire des triploïdes, c'est-à-dire des poissons génétiquement anormaux inaptes à la reproduction et possédant aussi d’autres caractères que l’ont peut considérer comme des tares (malformations du squelette, une vertèbre caudale de plus, chair plus grasse). C’est vraiment prendre le milieu pour une poubelle. Mais cela signifie aussi que nos gestionnaires ont compris le danger de la pollution génétique et que cela ne les empêche pas de continuer. D’ailleurs on mange déjà des huîtres triploïdes sans le savoir, pourquoi pas des truites.
-Adaptative : un brochet de Saône et un brochet de Vingeanne ne se ressemblent pas complètement. Ils portent le même nom, Esox lucius, et possèdent les mêmes gènes, ils sont pourtant morphologiquement différents. De nombreux articles décrivent ses « écotypes » de brochet, d’autres traitent de la truite, la fario, si belle dans sa diversité. C’est cette diversité qui permet au milieu de mieux résister aux perturbations. Elle doit être préservée pour elle-même ; nous avons vu combien cette stabilité du milieu était incompatible avec les croisements (génétique). L’agriculture nous a montré qu’une nouvelle variété pouvait être performante vis-à-vis des rendements mais qu’elle devenait incapable de se défendre naturellement et qu’il fallait la traiter. (Nous vous laissons choisir : traiter nos rivières ou protéger le naturel, adapté).
Ces adaptations ne concernent pas que les poissons dits nobles, quand on approfondit les observations on découvre cette diversité dans l’ensemble du monde vivant. Chez la vandoise par exemple on a mis en évidence une diversité morphologique remarquable dans des populations voisines vivant sur la même rivière (le Viaur) montrant que cette diversité est dépendante du milieu et quelle doit être protégée (Poulet N., in Revue de l’ONEMA, kmae, 2008, 388, 03).
- Sanitaire : pour produire des poissons de bassine il faut un milieu naturel, souvent un bras de rivière, que l’on va polluer par les aliments artificiels apportés, par les excréments des poissons, par les médicaments et autres ingrédients de « santé » que l’on va introduire, par les boues et vases de nettoyage que l’on va relarguer dans le milieu naturel….Ainsi on va produire des poissons dont on va vous assurer de la qualité sanitaire. Cette assurance montre qu’il y a un risque : celui d’infecter, de rendre malade, les poissons naturels de la rivière qui « bénéficiera » de cet alevinage provenant d’une industrie piscicole.
Mes amitiés halieutiques
PIKE

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Messagepar Bruno » 23 févr. 2009, 17:38

Très intéressant et ça permet d'avoir une autre approche que celle de la FFA forcément très impliquée dans l'affaire !

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Messagepar michel » 26 févr. 2009, 00:49

excellent article :shock:

l'homme ,cet apprenti sorcier :(

michel
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Messagepar STC » 15 juin 2009, 11:31

http://www.sudouest.com/charente-mariti ... 58009.html


Lundi 15 Juin 2009

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CONSEIL GÉNÉRAL. Parmi les 42 rapports examinés lors de la prochaine session figure le projet de désenvasement de la Charente

La promesse du fleuve

En confirmant sa participation, l'État laisse espérer une avancée rapide du dossier de désenvasement du fleuve Charente. (Ph archives D. Paries)
Rien n'est encore fait. S'il semble que l'option « terrestre » d'une décantation à terre des vases avant épandage soit privilégiée, celle d'un rejet dans l'océan après transport par pipeline n'est pas non plus éliminée.

Des études vont à nouveau être nécessaires, mais une chose est sûre : en confirmant, il y a peu, la participation de l'État au financement de ce lourd chantier (on a parlé d'une addition comprise entre 48 et 108 millions d'euros en fonction de la solution adoptée), la secrétaire d'État à l'Écologie Chantal Jouanno a fait sauter le dernier verrou du projet, les bisbilles politiques liées à la gouvernance de l'institution interdépartementale du fleuve Charente étant par ailleurs réglées.

Un choix stratégique

Le Conseil général de Charente-Maritime, qui avait pris les devants en inscrivant le dossier à son budget 2009, examinera donc les grandes lignes de ce désenvasement très attendu lors de la prochaine séance publique dite « de printemps », qui se déroulera cette année... au seuil de l'été. Prévue d'ici la fin du mois, cette première décision modificative budgétaire engagera donc 5 millions d'investissement (dont 3 pour la voirie et 1,6 pour la revitalisation des petites communes), et 3,6 millions de fonctionnement. Lié à la crise (les droits de mutation vont être réestimés à 61 millions d'euros pour 2009, alors qu'ils avaient rapporté 92 millions d'euros l'an dernier), ce modeste ajustement procède aussi d'un choix tactique du président Bussereau, qui préfère au saupoudrage des sessions intermédiaires un budget carré et complet voté une fois l'an.

[...]

Auteur : Christophe Galichon
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Messagepar STC » 15 juin 2009, 11:33

http://www.sudouest.com/charente-mariti ... 58011.html

Lundi 15 Juin 2009

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ENVIRONNEMENT. Nouveau coup dur pour l'équipe de Marais poitevin : le Conseil national de la protection de la nature refuse la labellisation du site en parc régional

Le Marais poitevin a été recalé


Le Marais poitevin, 100 000 hectares, 15 communes et un cloaque politico-administratif. (photo xavier léoty)
Pour beaucoup, ce n'est pas une surprise : la Commission de labellisation des parcs naturels régionaux vient de rejeter la demande du Marais poitevin, par 11 voix contre et 5 pour. Ce n'est pas une surprise car le vent avait tourné depuis plusieurs mois, alors que Pierre Roussel avait été nommé par Jean-Louis Borloo pour mener un audit sur la nouvelle charte.

Cet audit n'était rien d'autre qu'une motion de défiance et il fut ressenti comme tel. D'autant que Pierre Roussel, l'éternel chargé de mission, n'avait pas caché qu'il estimait cette charte mauvaise, relayant en ça un avis déjà émis par Jean-Louis Borloo lui-même.

Il y a quelques jours, c'est donc l'instance de référence, le Conseil national de la protection de la nature qui, par la voix de sa commission des Parcs, a opposé son veto à l'entrée du Marais poitevin dans le club des Parcs régionaux. Cet avis a été transmis à Jean-Louis Borloo pour la décision définitive. Mais plus personne ne se fait d'illusion dans l'équipe de Coulon : « Le ministère a fait un véritable lobbying auprès de la commission pour influencer sa décision. La mascarade gouvernementale continue dans ce dossier », commente Yann Hélary, le président Vert du Parc.

De Lalonde à Borloo

Règlement de compte politique ? Beaucoup le pensent et pour plusieurs raisons. C'est Brice Lalonde (Génération Écologie), alors ministre de l'Environnement, qui avait retiré le label en 1991. C'est Jean-Louis Borloo (également issu de Génération Écologie) qui est sur le point de le lui refuser aujourd'hui.

Le président du Parc est un élu Vert, les deux régions concernées par le territoire sont tenues par la gauche. Ajouter à cela que Philippe de Villiers et le Conseil général de Vendée ont toujours affiché leur hostilité à ce qu'ils considèrent comme une « sanctuarisation » du marais au préjudice des agriculteurs.

« Le devenir du Marais poitevin est finalement l'otage de querelles très éloignées des problèmes à résoudre. Ce nouvel échec enterre sans doute définitivement l'idée d'en faire un Parc naturel régional. Un résultat qu'on ne peut que mettre en rapport avec les avis majoritairement favorables, recueillis parmi la population dans le cadre de l'enquête publique », note François-Marie Pellerin, président de la Coordination pour la défense du Marais poitevin, association qui, depuis dix-sept ans, milite pour la défense des zones humides de ce territoire.

Les régions prennent la main

François-Marie Pellerin espère maintenant que l'État approuvera - en fin d'année - les trois schémas d'aménagement et de gestion des eaux du Marais poitevin, qui pourraient dicter les règles de conduite pour les usagers de cette deuxième zone humide de France.

Accusé, selon les cas, d'être trop vert, trop céréalier, trop à gauche, trop à droite, le Parc se cristallise sur place. La charte signée par la majorité des communes du syndicat mixte est le fruit d'un travail de sept ans. Un travail pour rien ?

Pas vraiment puisque les deux conseils régionaux ont décidé d'anticiper le refus gouvernemental et d'accorder le label au Marais poitevin en pérennisant l'appellation de Parc interrégional et en accordant une ligne budgétaire de 20 M? pour les dix ans à venir.

Après tout, ce n'est pas parce que l'État tourne le dos à notre Venise verte que ça empêchera les hérons de pêcher et les bateliers de manier la pigouille.

Auteur : thomas brosset
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Messagepar Clément R. » 15 juin 2009, 20:08

je lirais ça ce soir, au calme ! si c'est des TAC ... bah tant pis. un alevinage normalement a pour but de supporter une population...donc des poissons censer se plaire dans le milieu. Pour ça, je suis pour a 100% pour les bassines communales réunissant la fine fleur halieutique, ravie de pêcher des poissons sans nageoires et remplir le congélo.


mais pour les rivières, Faut savoir que certains milieux vont pas trop bien avec des hauts et des bas et nécessitent des alevinages pour supporter la population!

maintenant je prends l'exemple de Niort qui a beaucoup à aleviner. par exemple en bass, il y a pas loin de 25km de cours d'eau (sèvre) et qu'il mettent à peine 100kg (16 l'an passé) et que je vois comment se portent certains bassins ou se que prélèvent les viandards au filet ... je me dis que l'alevinage est presque nul !

Du coup , protéger le milieu , faire des frayères etc, serait bien plus utile et économique a long terme . une bonne frayère vaut tous les alevinages du monde ! (je cite cet aapp mais c'est pareil pour bon nombre)

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Messagepar Bruno » 15 juin 2009, 21:32

Les incohérences ne manquent pas !!! je reviens d'un petit séjour de peche en Auvergne ou on trouve encore de la "vraie truite' mais pour satisfaire les demandes locales on fait des lachers, résultat: une truite de 30 cm (manches courtes) avec dans la gueule une sauvage d'environ 8-10 cm :shock: !!!! si ça c'est pas du scandale !!! :evil:

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Messagepar STC » 17 juin 2009, 14:28

http://www.sudouest.com/charente-mariti ... 69112.html

Mercredi 17 Juin 2009

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CLÉRAC.

Un brochet dans l'escarcelle

Samedi matin, le jeune Émilien Souc, accompagné de son père, est allé pêcher à l'étang de Ferrière, réservé au personnel de l'AGS. Après avoir lancé sa canne, montée à la cuillère, il avait la surprise d'attraper un brochet de 3,5 kg et d'une longueur de 72 centimètres. À noter que ce jeune pêcheur n'en est pas à son premier coup d'essai, puisque la semaine dernière c'est une truite de 2,5 kg qu'il sortait de l'eau. Photo line Mimaud

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Messagepar michel » 17 juin 2009, 17:53

suite désenvasement de la charente
il ne faudrait pas également qu'on en profite pour la recalibrer et supprimer certains méandres ......!!!
le marais poitevin, à qui la faute tous les ans un peu plus de "marais poitevin"devient champ de mais !
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Messagepar STC » 23 juin 2009, 15:55

http://www.sudouest.com/charente-mariti ... 92784.html

Mardi 23 Juin 2009

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SAINT-MARTIN-D'ARY.

Peu de pêcheurs au lâcher


Les pêcheurs se sont installés de bon matin. (photo line mimaud)
Samedi dernier, l'association de pêche du plan d'eau communal de Saint-Martin-d'Ary effectuait son troisième lâcher de la saison avec 130 kilos de truites. Déception des responsables locaux car seulement trente pêcheurs étaient présents. On est loin du jour de l'ouverture où il avait été refusé du monde. Pour rentrer dans les frais, il ne faut pas moins de 50 pêcheurs vu le coût du poisson.

Tous souhaitent que le dernier lâcher du 4 juillet soit plus satisfaisant, car là aussi il y aura un beau lâcher. Un rendez-vous est donné donc pour début juillet si le temps le permet.

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Messagepar michel » 23 juin 2009, 16:23

les pêcheurs responsables comprennent enfin peut être qu'il y a peu d'intérêt à pêcher de tels poissons dans de telles conditions
même situation à Rochefort où la fête de la pêche n'a attiré qu'une petite vingtaine d'afficionados pour 90 kgs de TAC mises à l'eau (il est vrai que le temps était éxecrable) ,mais enfin 4 lignes,bouchon à gadin et un bon 30% ont encore des adeptes
Décision du bureau de l'AAPPMA ,à l'avenir fin des lâchers de TAC pour la fête de la pêche
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