Enquete sur l'anguille
- STC
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il pourrait y avoir inclus des questions du style de celle de la fédé
de l'aveyron qui effectue un sondage sur la Taille Légale de Capture
du Brochet souhaité dans son département cf. http://www.pecheaveyron.com/reglementation_reserve/2_categorie.php?
de l'aveyron qui effectue un sondage sur la Taille Légale de Capture
du Brochet souhaité dans son département cf. http://www.pecheaveyron.com/reglementation_reserve/2_categorie.php?
- Vari
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Je ne suis pas d'accords avec toi STC si ces pécheurs n'étaient pas informés c'est certainement à cause du manque d'information!
Et puis connaitre le nom d'un poisson c'est beau mais ne signifie rien car black bass n'est pas un genre ni une espece et si on part dans se sens alors je dirais que tu n'en connais aucun, il y a une classification et une nomenclature pour chaque genre connu alors pourquoi contnuer a appelé des teléostéens des poissons par exemple. si on va dans le sens de ta réfléxion je pense en effet qu'il y a un gros manque d'information trouves moi un bouquin pour les jeunes nomant un une truite "truita" par exemple.
En ce qui concerne les tailles de captures ca c'est bien du ca arrange qui... il n'y a pas de taille spécifique pour une maturitée sexuelle. Chaque spécimens à ca taille et son age. C'est du pipeau et de ce coté la y a du ^progrés à faire...
Et puis connaitre le nom d'un poisson c'est beau mais ne signifie rien car black bass n'est pas un genre ni une espece et si on part dans se sens alors je dirais que tu n'en connais aucun, il y a une classification et une nomenclature pour chaque genre connu alors pourquoi contnuer a appelé des teléostéens des poissons par exemple. si on va dans le sens de ta réfléxion je pense en effet qu'il y a un gros manque d'information trouves moi un bouquin pour les jeunes nomant un une truite "truita" par exemple.
En ce qui concerne les tailles de captures ca c'est bien du ca arrange qui... il n'y a pas de taille spécifique pour une maturitée sexuelle. Chaque spécimens à ca taille et son age. C'est du pipeau et de ce coté la y a du ^progrés à faire...
Lorsque la dernière colline aura été rasé. Lorsqu'aura été tué le dernier animal, asséché la dernière rivière et abattu le dernier arbre alors seulement... L'homme comprendra que l'argent ne se mange pas.
- Manulegosny
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"En ce qui concerne les tailles de captures ca c'est bien du ca arrange qui... il n'y a pas de taille spécifique pour une maturitée sexuelle. Chaque spécimens à ca taille et son age. C'est du pipeau et de ce coté la y a du ^progrés à faire..."
D'un point du vue strictement scientifique, oui c'est juste. Mais d'un point de vue 'civique' et social, comme pour tout, il faut une loi simple et égale pour tous : une limite. On l'appelle la maille. Et bien malin celui qui trouvera un moyen plus efficace et plus simple ...
Maintenant, il est tout à fait possible de relever les mailles. Mais c'est un autre débat.
D'un point du vue strictement scientifique, oui c'est juste. Mais d'un point de vue 'civique' et social, comme pour tout, il faut une loi simple et égale pour tous : une limite. On l'appelle la maille. Et bien malin celui qui trouvera un moyen plus efficace et plus simple ...
Maintenant, il est tout à fait possible de relever les mailles. Mais c'est un autre débat.
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- STC
- Pêcheur incontournable
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STC a écrit :j'ai souvenir d'un article dans un P&P qui indiquait que l'on pouvait
donner l'âge d'un poisson par l'étude d'un de ses écailles ... j'essaierais
de le retrouver ...
j'ai retrouvé 2 articles, reste plus qu'a les scanner vu qu'il y a des shémas ...
on peut effectivement donner l'age d'un poisson par ses écailles
(si elles sont de type "cycloïdes") ... cependant de plus en plus,
les scientifiques, le font par la lecture des otolithes qui se situent
dans le neurocrâne ... l'inconvénient de cette méthode étant
qu'il faut tuer le poisson
- pike
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Ci-dessous un communiqué de presse du 03 juillet de la FNPF des suites données aux demandes des pecheurs aux lignes
Le moratoire refusé !
L’anguille est-elle condamnée à disparaître ?
Le comité national en charge d’élaborer le plan français de restauration de l’anguille s’est réuni, mardi 1er juillet 2008, au ministère de l’écologie.
Devant l’urgence de la situation, c’est avec un profond étonnement que les pêcheurs amateurs, représentés par la Fédération Nationale de la Pêche en France, ont appris le refus de la proposition de moratoire de 5 ans, sur toutes les pêches de cette espèce et à tous ses stades. En effet, il a été répondu que ce moratoire ne pouvait être considéré comme « une mesure de gestion de cette espèce » ! Le projet gouvernemental ne prend pas en compte les nombreuses alertes scientifiques ainsi que celles des pêcheurs amateurs et demeure limité : aucune action permettant le franchissement immédiat des barrages problématiques n’est prévue pour les deux prochaines années à venir. Les pêcheries (pêche professionnelles et pêche amateur) sont quant à elles mises à contribution dès 2009 ! De plus, à la date d’aujourd’hui, toutes les propositions émises par les groupes de travail nationaux (pêcherie, monitoring, repeuplement, traçabilité, ouvrages et réglementation), ne sont pas encore toutes actées ! Un état de fait qui laisse planer des incertitudes sur la viabilité et l’équilibre du plan français alors que celui-ci doit être décliné rapidement au cours du second semestre au niveau de chaque bassin
français.
Les pêcheurs amateurs déplorent que le plan français ne soulève pas suffisamment les questions environnementales nécessaires au sauvetage de l’anguille à savoir, entre
autres, la continuité écologique (franchissabilité des ouvrages…), la gestion qualitative et quantitative des eaux (pollutions, pompages, assèchement de cours d’eau …) et la suppression des habitats (assèchement des zones humides…). La France doit être en mesure de présenter définitivement un plan de restauration de l’anguille au 31
décembre 2008, à la commission européenne. La direction prise par le gouvernement laisse les pêcheurs amateurs dubitatifs, quant à la possibilité de le faire. La FNPF s’interroge sur les risques de refus du plan français et de ses conséquences, tant environnementales qu’économiques et sociales.
Face à l’absence de communication de ce plan français, le gouvernement souhaite-t-il véritablement sauver l’anguille ? La préservation de la biodiversité est pourtant une priorité du gouvernement, si l’on en croit le projet de loi d’orientation du Grenelle de l’Environnement et les priorités environnementales affichées au moment où la France prend la présidence de l’Union Européenne.
L’anguille est un élément de la biodiversité des peuplements aquatiques mais aussi un indicateur de la qualité de nos cours d’eau.
L’effondrement de cette espèce n’est pas sans conséquence sur les autres
espèces animales et le milieu aquatique.
Preuve en est les mises en garde répétées des scientifiques internationaux depuis les années 1980 et l’urgence dans laquelle est mis en place un plan de sauvetage de l’anguille à l’échelon européen. Allons-nous accepter la disparition d’un poisson sous prétexte que ce dernier est moins populaire que d’autres plus médiatisés comme le thon rouge ?
AÏe,Aïe, on ne prend pas le bon chemin semble-t-il !
Le moratoire refusé !
L’anguille est-elle condamnée à disparaître ?
Le comité national en charge d’élaborer le plan français de restauration de l’anguille s’est réuni, mardi 1er juillet 2008, au ministère de l’écologie.
Devant l’urgence de la situation, c’est avec un profond étonnement que les pêcheurs amateurs, représentés par la Fédération Nationale de la Pêche en France, ont appris le refus de la proposition de moratoire de 5 ans, sur toutes les pêches de cette espèce et à tous ses stades. En effet, il a été répondu que ce moratoire ne pouvait être considéré comme « une mesure de gestion de cette espèce » ! Le projet gouvernemental ne prend pas en compte les nombreuses alertes scientifiques ainsi que celles des pêcheurs amateurs et demeure limité : aucune action permettant le franchissement immédiat des barrages problématiques n’est prévue pour les deux prochaines années à venir. Les pêcheries (pêche professionnelles et pêche amateur) sont quant à elles mises à contribution dès 2009 ! De plus, à la date d’aujourd’hui, toutes les propositions émises par les groupes de travail nationaux (pêcherie, monitoring, repeuplement, traçabilité, ouvrages et réglementation), ne sont pas encore toutes actées ! Un état de fait qui laisse planer des incertitudes sur la viabilité et l’équilibre du plan français alors que celui-ci doit être décliné rapidement au cours du second semestre au niveau de chaque bassin
français.
Les pêcheurs amateurs déplorent que le plan français ne soulève pas suffisamment les questions environnementales nécessaires au sauvetage de l’anguille à savoir, entre
autres, la continuité écologique (franchissabilité des ouvrages…), la gestion qualitative et quantitative des eaux (pollutions, pompages, assèchement de cours d’eau …) et la suppression des habitats (assèchement des zones humides…). La France doit être en mesure de présenter définitivement un plan de restauration de l’anguille au 31
décembre 2008, à la commission européenne. La direction prise par le gouvernement laisse les pêcheurs amateurs dubitatifs, quant à la possibilité de le faire. La FNPF s’interroge sur les risques de refus du plan français et de ses conséquences, tant environnementales qu’économiques et sociales.
Face à l’absence de communication de ce plan français, le gouvernement souhaite-t-il véritablement sauver l’anguille ? La préservation de la biodiversité est pourtant une priorité du gouvernement, si l’on en croit le projet de loi d’orientation du Grenelle de l’Environnement et les priorités environnementales affichées au moment où la France prend la présidence de l’Union Européenne.
L’anguille est un élément de la biodiversité des peuplements aquatiques mais aussi un indicateur de la qualité de nos cours d’eau.
L’effondrement de cette espèce n’est pas sans conséquence sur les autres
espèces animales et le milieu aquatique.
Preuve en est les mises en garde répétées des scientifiques internationaux depuis les années 1980 et l’urgence dans laquelle est mis en place un plan de sauvetage de l’anguille à l’échelon européen. Allons-nous accepter la disparition d’un poisson sous prétexte que ce dernier est moins populaire que d’autres plus médiatisés comme le thon rouge ?
AÏe,Aïe, on ne prend pas le bon chemin semble-t-il !
Mes amitiés halieutiques
PIKE
PIKE
- michel
- Pêcheur incontournable
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- Enregistré le : 26 févr. 2007, 18:59
- Localisation : ROCHEFORT
il s'agit bien sûr du lac de frace à aigrefeuille
tourbe,chaleur,nitrates,pluie d'orage , scénario qui aurait pu (qui pourra ????)se produire sur la trézence-marais de lande
michel
tourbe,chaleur,nitrates,pluie d'orage , scénario qui aurait pu (qui pourra ????)se produire sur la trézence-marais de lande
michel
PECHE EN NO KILL . PECHE ITINERANTE SUR ARNOULT,GERE, DEVISE,BRAMERIT,BOUTONNE
QUIVER BOUTONNE ,CANAL SEUDRE CHARENTE,BROUE
MON POISSON PREFERE LE BLACK BASS
QUIVER BOUTONNE ,CANAL SEUDRE CHARENTE,BROUE
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- STC
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pas bon du tout "ça" .. l'anguille est un poisson très résistant ..
qui se permet de franchir des près ... certains anciens
laissaiengt même leurs cannes la nuit dans ces dernirers
et les ramassées le matin
j'avions vu un documentaire à la télé ou "ils" leur faisaient passer
des test dans des caissons hyperbar simulant - 1000 mêtres
(moins mille mètres ) ...
aucun soucis pour miss << anguilla anguilla >>
qui se permet de franchir des près ... certains anciens
laissaiengt même leurs cannes la nuit dans ces dernirers
et les ramassées le matin
j'avions vu un documentaire à la télé ou "ils" leur faisaient passer
des test dans des caissons hyperbar simulant - 1000 mêtres
(moins mille mètres ) ...
aucun soucis pour miss << anguilla anguilla >>
- pike
- Pêcheur incontournable
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- Localisation : Saintes
L'une des inconnues sur la reproduction de l'anguille était l'influence de la pression en profondeur sur la maturation des gonades. Un test en caisson hyperbare avait été tenté pour reproduire une partie des conditions du trajet des anguilles jusqu'à la mer des Sargasses. Malheureusement, le phénomène est plus complexe que prévu et la variation de pression n'est pas le seul élément qui influe sur la reproduction des anguilles.
Mes amitiés halieutiques
PIKE
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