[ 2011 ] SO du jour

[STC]

Pêche traditionnelle de l'étang de Saint-Maigrin (17)

29-30-31 Octobre et 1er Novembre

Coup de filet tous les jours

Vente directe de poissons : Brochets, Anguilles, Perches, Tanches, frai vivant

Visite gratuite

route Jonzac - Barbezieux prendre direction Baignes / Chevanceaux
(à hauteur du lieu-dit Bordeaux)

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http://www.sudouest.fr/2011/11/02/l-ass ... 8-1366.php

Jarnac-Champagne / L'association de pêche a remanié son bureau



Lors de l'élection du bureau. Photo Daniel Bougès

Réunie en assemblée générale, vendredi 28 octobre, dans la salle des associations,
l'association Pêche Étang Barabeau (Apeb) a reconduit partiellement son bureau. Suite à la
démission de MM. Jean-Pierre Boudaud et Jean-Luc Perrocheau, qui ont été remerciés
chaleureusement pour leur engagement à leur côté par les membres présents, de nouveaux
membres sont venus compléter l'équipe d'animation (1).

Des lâchers de poissons (tanches, carpes et perches) sont prévus, sans oublier les lâchers de
truites avant les trois journées de pêche proposées au grand public et dont les dates restent
à déterminer.

Face au succès du repas moules-frites de l'exercice écoulé, ce dernier sera reconduit sans
hésitation.

(1) Président, Patrice Vollaud Patrice ; trésorier, Aurélien Semur ; secrétaire, Dominique
Foucher ; membres, Jacques Charrier, Gilles Clavelaud, Laurent Bate, Aurélien Maurin, Julien
Binet, Cédric Clochet

[STC]

http://www.sudouest.fr/2011/11/04/coup- ... 9-1559.php

Saint-Maigrin / Coup de filet à l'étang du château


Deux brochetons prêts pour la vente. Photo Daniel Bougès

Beaucoup de monde ce dernier week-end d'octobre à l'étang du château de Saint-Maigrin.
Comme il est de coutume, tous les trois ans, son propriétaire vide ce magnifique étang, à la
grande satisfaction des amateurs de poissons.

« Cette période triennale correspond à un développement optimum des espèces halieutiques
pour qu'elles soient vendues pour repeupler des étangs ou être consommées », souligne le
gérant du plan d'eau. Cet étang de 38 hectares est alimenté en eau essentiellement par le
Tâtre, ruisseau qui prend sa source en amont du village du même nom, et qui rejoint le Trèfle,
un affluent de la Seugne. De magnifiques spécimens (brochets, anguilles, carpes blanches,
tanches, perches, gardons...) étaient proposés au public venu nombreux ce week-end faire
ses emplettes en poissons d'eau douce. Les enfants ne furent pas oubliés puisqu'un manège
tournait sur le site. On notait aussi la présence d'un producteur de vins du Bergeracois et un
stand de pâtisseries.

Rendez-vous est donc donné dans trois ans, pour un prochain week-end halieutique.

[STC]

http://www.sudouest.fr/2011/12/01/poiss ... 42-882.php

Poisson : sa reproduction frôle la panne sèche

La Gaule cognaçaise a fait lâcher 120 kg de brochets hier. Pour le plaisir des pêcheurs et dans
l'espoir que le carnassier se reproduise.



Thierry Matignon, pisciculteur au Tâtre, avec Sébastien Christinet, technicien de la fédération
départementale de pêche et des milieux aquatiques. photo s. j.

La sécheresse persistante a de multiples conséquences, dont une pèse directement sur les
quantités actuelles et futures de poissons dans les rivières. Un petit aperçu en a été donné
hier matin. La Gaule cognaçaise a fait procéder à un lâcher de brochets « maillés » (plus de 50
centimètres), prêts à être pêchés dans les mois qui viennent.

Cent vingts kilos du poisson carnassier, en provenance de la ferme aquacole de Thierry
Matignon, au Tâtre, ont ainsi été dispersés à hauteur du port de Cognac, du restaurant La
Courtine et vers le pont de Châtenay.

Ce type de lâcher est un événement normal pour l'Association des pêcheurs du Cognaçais,
présidée par Jean-Pierre Gadras. Cette opération coûte 1 200 € HT à la structure.

Mais donner à pêcher aux pêcheurs et satisfaire ce loisir ne doit pas rimer avec évidence,
laissent entendre en substance Thierry Matignon, à la tête de la ferme aquacole de Givrezac,
au Tâtre, et Sébastien Christinet, technicien de la fédération départementale de la pêche et
du milieu aquatique.

Un brochet de 7 kg

Thierry Matignon, pisciculteur et viticulteur, a trois étangs à lui. Il intervient chez les privés et
pour les associations de pêcheurs.

Les vidanges d'étang s'opèrent de novembre à février. Les affaires viennent de reprendre et
pour Thierry Matignon, le carnet de commandes de vidange d'étang est inférieur à la normal. Il
est vrai aussi que les autorisations ont été plus tardives qu'à l'habitude, puisqu'elles
remontent au 25 novembre.

« Le premier que j'ai fait, la semaine dernière - un étang de trois hectares -, a donné 250 kg
de moins de poissons qu'il y a trois ans. » En 2008, plus de 900 kg avaient été récupérés.
Moins d'eau, moins d'oxygénation… Les poissons souffrent. Thierry Matignon ne met pas tout
sur le dos du manque d'eau. D'autres facteurs naturels peuvent jouer, selon lui.

Le pisciculteur a en tout cas décidé… que c'est la nature qui déciderait. « Cette année, on en
fera un petit peu moins, c'est tout. On verra l'année prochaine », prône Thierry Matignon, qui
aimerait faire comprendre qu'offre et demande ne trouvent pas toujours l'équilibre parfait.

Hier matin, le pisciculteur du Sud-Charente avait toutefois réservé une belle pièce aux
pêcheurs du Cognaçais : un brochet de sept kilos !

De son côté, Sébastien Christinet tient le même discours que Thierry Matignon. « Cette
année, nous avons fait, sur l'ensemble du département, une cinquantaine de sauvetages
de poissons contre une quinzaine les autres années. Nous avons trouvé très peu de petits
poissons. Ce qui signifie qu'il y a eu peu de reproduction. » Ce constat vaut pour les cours
d'eau en dehors du fleuve Charente.

Le lâcher d'hier matin, dans les eaux de la Charente, a vocation à satisfaire le pêcheur, mais
pas seulement. Les brochets d'hier sont tous des géniteurs. Il faudrait maintenant des crues
pour que les conditions de reproduction soient favorables. « S'il n'y a pas de crue, il n'y aura
pas de reproduction naturelle », prévient Sébastien Christinet.

Une fois par an, Thierry Matignon vide ses étangs et met du poisson à la vente. Cette
opération aura lieu samedi et dimanche, de 9 à 12 heures et de 14 h 30 à 17 heures

[coulonnaise]

Pffft
J'espère que c'est en réserve où les poissons ont été lâchés !?! Sinon, je ne comprends toujours pas que les Appmaa continuent à faire des articles dans la presse en citant exactement les endroits où les poissons sont lâchés En plus, des brochets maillés, j'en connais plus d'un qui sait déjà où aller pour remplir son congel pour les fêtes de Noël

[Bruno]

Bien d'accord avec toi !

Bruno

[Morgan17]

Malheureusement pour nous je suis pas d'accord avec vous! Si les aappma ne communique pas sur ce genre d'action le nombre de carte de pêche continuera inlassablement de diminuer. Même si pour pour moi ce n'est pas la meilleur façon de reconquérir nos milieux aquatiques, c'est une manière de conserver certain pêcheurs qui sont prêt à abandonner la pêche et donc indirectement le financement des aappma!!

[coulonnaise]

on peut très bien faire les articles dans la presse sans pour autant donner le nom des lieux de lâchers .
Ou alors des faux noms de lieux, pour brouiller les pistes, les gogos iront y mettre leurs 4 cannes réglementaires et ils ficheront la paix aux brocs qui n'ont déjà presque aucune chance de se reproduire vu l'état pitoyable des rivières
Et de dire que les cartes de pêche diminueront, franchement, à un moment, il faut arrêter de prendre cette raison pour toujours justifier les pillages lamentables qu'il y a régulièrement sur les lieux de lâchers divulgués dans la presse. Parce que c'est le serpent qui se mord la queue, les poissons n'ont pas le temps de se reproduire, alors il faut faire des lâchers pour satisfaire le pêcheur lambda qui souhaite rentabiliser un minimum sa carte en remplissant le congel et qu'il reprenne l'année suivante son droit de pêche (si on peut appeler ça de la pêche, à mon sens c'est plus du tir au pigeon de foire en l’occurrence), ou plutôt de pillage réglementé de la ressource au moment des lâchers hivernaux.
Privilégier un peu la qualité de pêcheurs à la quantité, c'est faire le pari qu'on laisse une chance au poisson de se reproduire davantage et d'ainsi assurer la reproduction des populations sans alevinage, que l'on aurait donc plus à financer car moins nécessaires...

[Morgan17]

Relie bien les trois premier mots de ma phrase. Je suis pas forcement favorable a ce type de communication la.Pour les lieux de déversement je suis d accord avec toi. En ce qui concerne les cartes je vois de près la dégringolade des ventes et cela vraiment peur! Je pense juste que toute promotion positive pour la pêche n'est pas un luxe.

[coulonnaise]

oui, j'ai bien vu que tu étais d'accord sur le principe, pas de souci
Même si la baisse des ventes de cartes est principalement du à l'état des rivières et la baisse considérable de la ressource, on ne peut pas continuer à laisser nos rivières "sous perfusion" en alevinant chaque année à perte principalement au niveau des brochets, le sandre lui, étant plus opportuniste et ayant la capacité de s'adapter mieux aux aléas climatiques, il se reproduit encore bien je trouve. Aleviner sans cesse et chaque année à perte, c'est un cercle vicieux auquel les aappma devront se défaire tôt ou tard.
Je fais partie du conseil d'administration d'une aappma qui a instauré un nokill intégral du bass sur tout le linéaire de rivière, je participe aux alevinages et aux décisions qui y sont prises, on ne communique jamais le nom des lieux ni le jour des lâchers où l'on se fait le plus discret possible. Le nombre de cartes vendues a presque doublé en deux ans pour notre aappma, certes plus par militantisme de la part de nombreux pêcheurs responsables qui tiennent à saluer nos efforts en prenant leur carte chez nous (et pour montrer aussi à la fédération de pêche le soutien de notre politique), on est en train de faire une frayère à brochets, on a baptisé dernièrement un parcours Henri Limouzin avec la présence de sa veuve et Jacques Rosen, on a organisé un open streetfishing dont les bénéfices ont été versées à notre aappma, les instances locales nous soutiennent dans nos projets, bref, on essaie de faire autrement à notre petit niveau. On essaie de mettre ne place les conditions nécessaires pour la reproduction naturelle des espèces, pour à terme, diminuer les alevinages et utiliser notre argent pour développer le tourisme pêche responsable, refaire des mises à l'eau, entretenir les parcours, ...
On n'a pas la science infuse, loin de là, on s'est déjà trompé dans nos décisions et on se trompera encore, mais on agit, tout simplement. Et j'invite tout le monde à faire cela au niveau de son aappma locale en entrant dans son bureau et faire entendre sa voix. La voie légale, il n'y a que ça de vrai. Gueuler dans son coin, c'est trop facile et ça ne sert à rien.
C'est beaucoup plus facile de détruire que de construire ... ceci ne s'adresse pas à toi Morgan17

[Morgan17]

"C'est beaucoup plus facile de détruire que de construire ... ceci ne s'adresse pas à toi Morgan17 "

Heureusement si non j'arrète la pêche

[STC]

http://www.sudouest.fr/2011/12/28/quand ... 4-1368.php

Jonzac / Quand les brigades et les lycéens aident les rivières

Les brigades de rivières de la Communauté de communes ont aidé durant la journée d'hier
l'association à entretenir des gravières.



Après l'entretien des gravières en octobre, avec les brigades de rivières, les reproducteurs ont
été mis, hier, à proximité des frayères. (Photo DR)

Hier, la Gaule jonzacaise a mis des couples de reproducteurs de truite fario à proximité des
frayères où l'association était intervenue au cours de la dernière semaine du mois d'octobre.

Le salmonidé local vit sa grande période de reproduction, de novembre à janvier. Et si la zone
de frayère se trouve dans des gravières naturelles, ces dernières ont néanmoins besoin d'être
entretenues par l'homme. « En fonction des conditions météo, avec des eaux pas trop
hautes », précise Jean-Marie Marchesseau, secrétaire de la Gaule jonzacaise.

L'opération demande des bras et l'association s'en occupe avec des bénévoles, mais quand il
n'est pas possible de regrouper un maximum de personnes aux dates favorables, elle doit
renforcer son équipe.

Cette année, en échange d'une participation financière, l'association a contacté les brigades
de rivières de la Communauté de communes de Haute-Saintonge pour les aider à entretenir
ces gravières sur la Maine, au Pont de Tende et en aval du village du Mars, sur la Seugne, à
Marcouze, et sur l'Yvotte.

Optimiser les arrivées d'eau

De la même manière, une vingtaine d'élèves de seconde et de première, option environnement,
du lycée agricole Saint-Antoine-de-Bois sont intervenus sur une frayère avec des membres de
l'association.

L'intervention humaine a pour but d'éviter le colmatage des graviers et d'optimiser les arrivées
d'eau, bénéfiques à l'oxygénation. « Il a fallu brasser plusieurs fois les cailloux afin de les
nettoyer naturellement, et les disposer en couche selon les courants d'eau, répondant aux
désirs des utilisatrices des lieux », explique l'un des membres de la Gaule jonzacaise.

40 jours d'incubation

Le processus de reproduction est très précis, il était nécessaire que les travaux soient
accomplis en temps voulu. La truite fario se reproduit dans une eau entre 5 °C et 12 °C. «
Dès que les truites ont rejoint leur zone de frayère, les femelles pondent de 1 500 à 4 000
œufs. Le mâle dépose sa semence et la femelle recouvre les œufs de graviers pour les
protéger. Les truites quittent alors rapidement la frayère », note l'association.


La durée d'incubation varie en fonction de la température de l'eau. Sachant qu'elle est
d'environ 400 degrés jours, elle sera de quarante jours dans une eau à 10 °C. Après sa
naissance, l'alevin reste ensuite sous les graviers. Il se nourrit de ses réserves pendant quatre
à six semaines avant de sortir et de tenter de se nourrir seul.

Grâce à l'aide des brigades de rivières et des lycéens, la Gaule jonzacaise a donné un petit
coup de pouce à la nature pour rendre idéales les conditions de reproduction et d'incubation
de la truite fario. « J'espère que ça va leur plaire », commente Jean-Marie Marchesseau.
Depuis hier, les reproducteurs sont sur les lieux pour juger.

Colette Macintos

[STC]

Hier, la Gaule jonzacaise a mis des couples de reproducteurs de truite fario à
proximité des frayères où l'association était intervenue au cours de la dernière semaine du
mois d'octobre.

quelques infos supplémentaires ...

http://lagaulejonzacaise.over-blog.org/ ... 51658.html

[taxi]

Est ce qu'il y aura une protection derrière ce projet et y a t'il des expériences identiques qui ont fonctionnées

[lehollandaisvolant]

Belle initiative en tous cas. Avec le no kill du canal de l'unima ça fait déjà 2 bonnes nouvelles pour 2012!