[ 2011 ] SO du jour

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STC
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Re: [ 2011 ] SO du jour

Messagepar STC » 18 févr. 2011, 09:34

http://www.sudouest.fr/2011/02/18/apres ... 7-1550.php

Saint-Hilaire-du-Bois / Après la chasse, la pêche

Image
Un temps un peu frais pour pêcher. PHOTO MICHEL YVONNET

Les chasseurs de l'ACCA de Saint-Hilaire-du-Bois sont passés du lièvre à la truite durant ces
deux dimanches de février. La deuxième journée de pêche dans l'étang communal s'est
déroulée le 13 février. 56 passionnés ont essayé de capturer une partie des 60 kilos de truites
lâchées pour l'occasion. Le petit vent frais du matin a rendu les poissons timides et frileux.

Même sans assurer beaucoup de prises, les pêcheurs ont passé une bonne journée et ils
reviendront les trois prochains dimanches pour d'autres journées de pêche organisées par le
Comité des fêtes.
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Messagepar STC » 28 févr. 2011, 09:47

http://www.sudouest.fr/2011/02/28/un-we ... 5-1298.php

Chepniers / Un week-end de pêche

Image
Le président de l'association et le meilleur pêcheur du dimanche avec 10 kilos de truite dans
son filet. photo y. seurin

L'association Pêche et loisirs a démarré la saison la moins drôle pour les poissons mais la
meilleure pour les pêcheurs ! Sur deux jours, le week-end passé les 19 et 20 février, près de
250 personnes sont venues sur le site à Robinson pour les 250 kilos de poissons lâchés
(truites de toutes tailles) en cadeau il y avait un supplément de 10 kilos de farios et la célèbre
truite jaune.

Ce sont en majorité des gens du coin, des habitués qui viennent pour la pêche mais pour
l'ambiance aussi ! Le samedi, le président Daniel Gisclon de l'association avait proposé un
repas sous chapiteau, de la daube qu'il cuisine lui. 50 repas ont été servis. Le week-end du 19
mars à Robinson, ce sera poulet basquais.
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claudie
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Re: [ 2011 ] SO du jour

Messagepar claudie » 28 févr. 2011, 13:17

http://www.sudouest.fr/2011/02/25/l-anguille-pourrait-retrouver-son-eclat-326745-1391.php

25 février 2011 06h00 1 commentaire(s)

La Rochelle
L'anguille pourrait retrouver son éclat
Entre Annie Mendeville, directrice de l'école de Saint-Martin, et Éric Buard, du Creaa, Lionel Quillet et Patrice Raffarin aident les élèves à répondre au questionnaire. photo jean-pierre pichot
Entre Annie Mendeville, directrice de l'école de Saint-Martin, et Éric Buard, du Creaa, Lionel Quillet et Patrice Raffarin aident les élèves à répondre au questionnaire. photo jean-pierre pichot
Image


Dans le cadre des quarante ans du label Ramsar (label attribué aux zones humides d'importance internationale, dont le Fier d'Ars bénéficie depuis 2003), la Communauté de communes de l'île de Ré a mis en place un partenariat avec le Creaa (Centre régional d'expérimentation et d'application aquacole). Le but est d'organiser des ateliers pédagogiques afin de faire découvrir de manière ludique et scientifique l'importance que revêt la protection de ces zones humides pour le maintien de la biodiversité et de la diversité des espèces animales et végétales auprès des élèves de l'île de Ré, âgés de 8 à 10 ans.

Cinq classes de CM1-CM2, des écoles de Rivedoux, Le Bois-Plage, Saint-Martin-de-Ré, Saint-Clément-des-Baleines et La Flotte, ont participé à ces ateliers les 14 et 15 février, salle de la Poudrière, à Saint-Martin-de-Ré.

Le cycle de la vie

Éric Buard, expert aquacole et piscicole au Creaa, a expliqué aux enfants, posters scientifiques et pédagogiques à l'appui, le cycle de vie des espèces de poissons migrateurs (l'anguille en particulier) et le rôle des marais dans notre environnement. Les écoliers ont ensuite planché sur une « interrogation écrite » ayant pour thème : l'anguille. Et, avant la collation offerte par la Communauté de communes, ils ont pu satisfaire leur curiosité en touchant les anguilles apportées par Éric Buard.

Pour le président de la CdC, Lionel Quillet, présent lundi 14 février à l'atelier auquel participaient les élèves de Saint-Martin, « l'anguille est un des symboles de l'île de Ré. C'est pourquoi dans le cadre d'un programme concernant les zones humides, outre la remise en eau du marais, nous avons prévu de réaliser des passages à anguilles. La pêche à l'anguille à la fourchette à deux dents sous les algues est une pêche que je pratiquais avec mon grand-père et mon père. Hélas, aujourd'hui, les bons trous à anguilles se font de plus en plus rares. »

La Rochelle · Saint-Martin-de-Ré · Charente-Maritime
Mon AAPPMA http://lamouchedestsavinien.over-blog.com/

http://bramerit.blog.free.fr/index.php?pages/ACCUEIL

outil de référence : http://www.monagendahalieutique.fr

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Messagepar STC » 05 mars 2011, 09:10

http://www.sudouest.fr/2011/03/05/la-ga ... 3-1368.php

Jonzac / La Gaule jonzacaise se prépare à l'ouverture
Samedi prochain, c'est l'ouverture. Les pêcheurs locaux s'y préparent déjà.

Image
Les pêcheurs se préparent déjà pour l'ouverture de la truite dans une semaine.
PHOTO archives GUILLAUME BONNAUD

C'est très précisément dans une semaine, le samedi 12 mars au petit matin, que les amateurs
de truites se retrouveront en nombre sur les rives des cours d'eau de première et deuxième
catégorie, pour l'ouverture de la pêche à la truite.

Forcément, en attendant ce moment, les passionnés dorment moins bien, les calmes le sont
moins, les rêveurs s'éveillent. Au sortir de l'hiver, les pêcheurs vont pouvoir se retrouver, se
croiser, discuter ou se regrouper pour le fameux casse-croûte convivial d'ouverture.


Un bel alevinage

Cette année encore, La Gaule Jonzacaise, ses administrateurs et ses bénévoles ont aleviné
les rivières en truitelles et ont déversé des truites surdensitaires. Ce sont environ 3 000
truites (fario et arc-en-ciel) qui ont été lâchées en première et deuxième catégorie dans la
Maine, le Tarnac, la Seugne, le Trèfle, le Tâtre, le Villiers, la Pimpérade, le Taillon, le Né, la
Livenne, le Pharon, le Lariat ainsi que sur les plans d'eau d'Heurtebise, de Léoville et de Saint-
Simon-de-Bordes. Le « parcours truites » de Saint-Germain-de-Lusignan, à Cornet,
bénéficiera, à partir du 18 mars, d'un lâcher hebdomadaire durant cinq semaines.

Simple respect

Les membres de l'association tiennent à rappeler aux pêcheurs quelques règles essentielles «
pour passer de bonnes journées au bord de l'eau. En première catégorie, la pêche en
marchant dans l'eau est interdite jusqu'au 31 mars. En deuxième catégorie, la pêche au vif, à
la cuiller, au poisson mort est interdite jusqu'au 30 avril. Et dans tous les cas, seulement six
truites par jour et par pêcheur sont autorisées ».

La Gaule jonzacaise rappelle par ailleurs aux pêcheurs qu'ils doivent penser à se procurer leur
carte de pêche suffisamment tôt pour éviter les encombrements chez les dépositaires. Et
surtout, l'association leur recommande « de profiter de la nature tout en la respectant. Car
vous vous trouverez sur le domaine privé. Alors il ne faut pas oublier de se comporter en
invités ».
Image
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Messagepar STC » 11 mars 2011, 09:28

http://www.sudouest.fr/2011/03/10/l-ouv ... 5-4628.php

« L'ouverture de la truite, c'est le réveil du pêcheur »
Effervescence à la fédération départementale. Samedi matin, à partir de 6 h 40 précisément,
les taquineurs de truites chaussent les bottes .
Image
Pour l'ouverture de la truite, les eaux promettent d'être claires. photo dr

C'est bien connu. À l'instar de la marmotte et du loir, le pêcheur hiberne. Il ne sort de sa
léthargie qu'aux derniers jours de l'hiver, quand le printemps se profile à l'horizon et que les
rivières murmurent de plaisir, c'est-àdire début mars. Nous y voilà. C'est samedi matin, très
exactement à partir de 6 h 40, que les berges des rivières de notre département seront prises
d'assaut par les vitruoses de la mouche ou les acrobates du leurre.

« L'ouverture de la truite, c'est le réveil du pêcheur », confirme Xavier Sécher, coordinateur
départemental de la fédération. Comme chaque année, une dizaine de tonnes de truites ont
été lâchés dans les cours d'eau de première (1) et deuxième catégories pour « appâter » les
pêcheurs du premier matin.

Les eaux sont claires
« Mais la véritable ouverture, c'est les jours qui suivent, quand l'eau retrouve son calme. Il y a
des lâchers complémentaires et des parcours de truites organisés », ajoute Xavier Sécher.

À deux jours du grand matin, la situation des cours d'eau n'est toujours pas fameuse. « Nous
sommes toujours en déficit d'eau à une période où, normalement, les rivières sont au
maximum. Les pluies d'octobre n'ont fait que lessiver les sols. »

À bas niveau, les eaux sont claires. S'il ne pleut pas d'ici dimanche, il faudra des ruses de
Sioux pour approcher les berges sans se faire repérer par ces rusées de farios.

Petits points règlementaires indispensables : il faut être muni de sa carte de pêche, la prise
maximun est de six truites par personne, la pêche en marchant dans l'eau est interdite
jusqu'au 31 mars. Et une nouveauté pour finir : avec la carte interfédérale (85 euros), vous
pouvez pêcher partout en France. Il suffit de l'avoir en permanence dans le coffre de la
voiture.

(1) La Boutonne, l'Antenne, le Bramerit, le Coran, la Maine.
Image
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Re: [ 2011 ] SO du jour

Messagepar STC » 16 mars 2011, 16:04

http://www.sudouest.fr/2011/03/16/arret ... 98-659.php

Saint-Jean-d'Angély / « Arrêter de montrer du doigt les irrigants »

Président de l'Association syndicale autorisée Boutonne, Jean-Yves Moizant n'entend plus
demeurer silencieux sur les « contre-vérités » propagées sur l'irrigation.
Image
Jean-Yves Moizant ne veut plus culpabiliser sur les assecs des cours d'eau du bassin-versant
de la Boutonne. PHOTO DOMINIQUE PARIES

Regroupant 112 agriculteurs irrigants sur les 200 que compte le bassin-versant de la
Boutonne, l'Association syndicale autorisée (Asa) Boutonne a tenu son assemblée générale
lundi matin au cinéma Eden. Son président, Jean-Yves Moizant, avait ouvert, pour la première
fois, les travaux à la presse.

Partant du constat que « sur ce territoire, vous n'avez pas le droit de parler de gestion de
l'eau, il y a un monopole », le président de l'ASA Boutonne a voulu, publiquement, battre en
brèche « les contre-vérités » auxquels les irrigants ne répondent jamais. Bref, Jean-Yves
Moizant n'a plus l'intention de laisser le champ libre aux écologistes vent debout contre les
prélèvements dans la Boutonne et l'état dégradé de la rivière.

« Ne culpabilisons plus sur les assecs des cours d'eau, conseilla même le président de l'ASA
Boutonne à ses adhérents. Il faut arrêter de montrer du doigt les irrigants, comme dans les
années 80 ou 90. »

Des courbes et des statistiques accompagnèrent la démonstration de Jean-Yves Moizant qui
se livra à un long monologue rarement interrompu. « Les irrigants prélevaient 25 millions de
mètres cubes d'eau dans la Boutonne en 1999. Ces prélèvements ont été fortement réduits
depuis, passant de 18 millions en 2001 à 9 millions de mètres cubes ces deux dernières
années. »

D'autres facteurs en cause

À ce stade, Jean-Yves Moizant considère que les agriculteurs irrigants ne peuvent être
accusés de tous les maux. Se référant à une étude menée par le Syndicat mixte du bassin de
la Boutonne, il pointe le recalibrage du cours d'eau et les travaux entrepris pour lutter contre
les inondations. « Pour sûr, on ne connaîtra plus d'inondation comme ce fut le cas en 1982,
s'exclama le président de l'ASA. Tous ces aménagements ont rabaissé le fond des rivières et le
niveau des nappes. L'écoulement de l'eau s'avère plus rapide. Même en cette saison, l'on
constate des nappes basses. »

La suppression des méandres, l'arrachage des haies, le remembrement, les drainages
constituent d'autres facteurs d'accélération de l'écoulement de l'eau. Ainsi, Jean-Yves
Moizant veut-il faire comprendre que l'irrigation agricole n'est pas la seule responsable de la
situation dénoncée par les écologistes.

« Il faut arrêter de gérer par crainte de l'inondation, ralentir les écoulements et ne pas laisser
la nappe se vidanger prématurément » indique, encore, le président de l'Asa Boutonne.

Un volume insuffisant

Concernant le volume prélevable fixé par la commission locale de l'eau du Sage (1) Boutonne -
3,5 millions de mètres cubes pour l'irrigation - Jean-Yves Moizant estime que la profession
agricole « n'a pas été bien entendue ».

« Notre projet porte, en effet, sur 6 millions de mètres cubes stockés en réserves et 4 millions
de mètres cubes prélevés dans le milieu », explique le président de l'ASA Boutonne.

L'Association syndicale autorisée travaille depuis 2005 sur ce projet de vingt-trois réserves à
aménager sur le bassin-versant de la Boutonne. Avec d'importants concours financiers, les
irrigants ont payé, à ce jour, 900 000 euros pour trois études liées à l'impact, à la loi sur l'eau
et à Natura 2 000. « Ces trois études se chevauchent », regrette Jean-Yves Moizant qui se
demande si le projet aboutira un jour.

« Nous continuons à y croire » assure, toutefois, le président de l'ASA. Les irrigants paieront
leur cotisation 2010 et en ont voté une (0,01 centime le mètre cube consommé) pour 2011.
Leur association se prépare, toujours, à financer ce projet.

Un syndicat mixte

Jean-Yves Moizant pointe des aides moindres en Poitou-Charentes, en raison de l'hostilité
envers l'irrigation du Conseil régional présidé par Ségolène Royal. Dans ce contexte de
prélèvements et de financements moindres, il s'interroge sur la rentabilité du projet.

En revanche, il ne voit plus d'inconvénient à la création d'un syndicat mixte qui porterait ce
type d'aménagements. Ce syndicat est réclamé par Jean-Yves Martin, le conseiller général
PRG (Parti radical de gauche) de Saint-Jean-d'Angély, président de la commission locale de
gauche et candidat à sa propre succession lors du scrutin cantonal de dimanche.

« La condition est que le syndicat mixte travaille sur le projet de l'ASA », martèle Jean-Yves
Moizant. Lequel conclut en rappelant que « la consommation de l'irrigation sur le bassin de la
Boutonne représente une pluie de 8 millimètres ».

Pas de doute, les arguments du président de l'ASA seront commentés sur le canton lors des
derniers jours de la campagne électorale. Le débat porte, en effet, sur une autre agriculture,
moins intensive, plus économe en eau.

(1) Sage : Schéma d'aménagement et de gestion des eaux. Le Sage Boutonne a été approuvé
par arrêté préfectoral du 29 décembre 2008.
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Messagepar STC » 24 mars 2011, 10:10

http://www.sudouest.fr/2011/03/24/toujo ... 62-757.php

Saint-Bonnet-sur-Gironde / Toujours plus de pêcheurs au carrelet
Image
La salle était pleine. Au deuxième rang, Isabelle Kerbriou du Conseil général.
photo michel yvonnet

Ils étaient une centaine d'adhérents dans la salle des fêtes de Saint-Bonnet-sur-Gironde,
samedi après-midi, pour assister à l'assemblée générale des pêcheurs au carrelet de l'estuaire.

Philippe Plisson, député de Gironde et conseiller général de Saint-Ciers-sur-Gironde, est venu
annoncer de bonnes nouvelles pour la reconstruction ou les réparations des carrelets détruits
en Gironde par la tempête Xynthia. Malheureusement, les Charentais-Maritimes ont moins de
chance. Ségolène Royal, en refusant d'intervenir au niveau régional, leur fait perdre 30 % des
aides possibles, car la région Poitou-Charentes n'aidera que les carrelets pédagogiques.

La réunion a commencé par un exposé très intéressant sur le maigre fait par Romain Fageot,
chargé de mission au comité local des pêches de Gironde.

250 adhérents

Le président Serge Carrère s'est félicité de constater une progression de 18 % du nombre des
adhérents, passant de 210 à 250. Ce succès tient au dynamisme de l'association, à la
convention passée par l'association avec le Conseil général pour la gestion des carrelets sur le
terrain et à l'action des adhérents qui ont fait connaître l'association. Le président a fait appel
à d'autres volontaires pour porter la bonne parole sur la rive gauche (Médoc) de l'estuaire. À
noter les bonnes relations que l'association entretient avec le Conservatoire de la Gironde.

Très souvent, plusieurs personnes utilisent et participent aux frais du même carrelet, mais un
seul nom apparaît. Au moment de vendre, les co-utilisateurs ne sont pas connus et donc non
prioritaires. Le président invite donc tous les utilisateurs à se faire connaître officiellement.

Un adhérent se plaint de dégâts importants causés par un pêcheur professionnel. Le président
invite tous les propriétaires qui sont dans le même cas à porter plainte à la gendarmerie.

La cotisation est fixée à 15 euros pour l'année.
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Messagepar STC » 29 mars 2011, 09:38

http://www.sudouest.fr/2011/03/29/peu-d ... 7-1599.php

Saint-Sorlin-de-Cônac / Peu de prises à l'hameçon

Image
Samedi 26 mars, Barbara, l'animatrice du Pôle nature de Vitrezay, a accueilli 20 pêcheurs de
carnassiers tous bien équipés avec du matériel spécifique. Le soleil était au rendez-vous, le
vent s'était calmé, une vraie journée d'été où tout était réuni pour réaliser une bonne pêche.
Malgré le savoir faire des pêcheurs et leur ténacité, seuls trois sandres kamikazes sont sortis
de l'étang. photo michel yvonnet
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Messagepar STC » 05 avr. 2011, 09:47

http://www.sudouest.fr/2011/04/05/les-p ... 9-1516.php

Saint-Bonnet-sur-Gironde / Les poissons se font rares

Dimanche, 44 adultes et neuf enfants sont venus pêcher dans l'étang de Troquereau.
Les poissons se sont fait rares, au grand regret des passionnés.
Image
Les prochaines journées de pêche à l'étang de Troquereau sont prévues les 17 avril,
1er et 29 mai. photo michel yvonnet
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Re: [ 2011 ] SO du jour

Messagepar STC » 06 avr. 2011, 09:33

http://www.sudouest.fr/2011/04/06/les-c ... 1-1476.php

Nieul-le-Virouil / Les chasseurs à la pêche

Image
Un temps magnifique et un site très agréable. Photo M. Yvonnet
Une trentaine de pêcheurs à la ligne sont venus, samedi 2 avril, à l'étang de Pascal Vias, pour
tenter de prendre une truite au bout de leur ligne.

Roger Glénisson, président de l'ACCA, et son équipe ont organisé cette journée de pêche
grâce à Pascal Vias qui a accepté de mettre gracieusement son étang à la disposition des
organisateurs. 60 kilos de truites ont été déversés, soit en moyenne 280 poissons. Le beau
temps de ce samedi a permis aux débutants comme aux amateurs, de faire de belles prises. Le
lendemain, les pêcheurs qui avaient payé leur admission la veille, ont eu le droit gratuitement,
d'essayer de capturer les truites rebelles et rusées qui ont résisté à l'appel de la teigne, du
ver ou du maïs.
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Re: [ 2011 ] SO du jour

Messagepar STC » 07 avr. 2011, 09:15

http://www.sudouest.fr/2011/04/07/les-g ... 4-1366.php

Jarnac-Champagne / Les gaules de sortie
Image
Une belle prise. Photo Daniel bougès

Malgré un temps maussade, une centaine de pêcheurs s'étaient retrouvés, dimanche 3 avril,
autour de l'étang Barabeau de Jarnac-Champagne. Le poisson n'était pas absent et on pouvait
trouver de nombreuses belles bourriches, ce jour-là. « Les inscriptions ne se font que le jour
de pêche à partir de 7 heures, aucune place n'est réservée à l'avance », précisait Patrice
Vollaud, président de l'association organisatrice, qui prépare avec beaucoup de minutie - en
compagnie de son équipe - ces rencontres halieutiques.
Image
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Messagepar STC » 08 avr. 2011, 09:17

http://www.sudouest.fr/2011/04/08/la-re ... 2-4321.php

Les premiers indices, tant sur le gave d'Oloron que dans l'estuaire, font du moins espérer une
meilleure saison de pêche que les deux années précédentes.

Image
La pêche au saumon pourrait se révéler fructueuse cette année. photo jean-louis duzert

On en était le week-end dernier à 25 saumons pris à la ligne sur le gave d'Oloron, pour
l'essentiel dans le secteur de Sauveterre-de-Béarn. Des poissons pesant entre 5 et 6 kilos,
autant dire « de vrais saumons », considère Claude Valero, détaillant d'articles de pêche
spécialisé mouche, à Navarrenx. Navarrenx, sa place forte avec son gave et ses remparts,
jusqu'où le roi des gaves béarnais n'est guère encore remonté : on n'y signalait cette semaine
qu'une seule prise, certes de belles mensurations.

Depuis le 28 février dernier, quatre saumons ont été observés au fameux pool Masseys, à
Navarrenx, où une salle de visionnage équipe la nouvelle centrale construite en rive gauche
(Susmiou). D'autres chiffres tout frais : six spécimens ont été comptés à ce jour à Sorde-
l'Abbaye, en tout début de bassin ; quatre au lieu dit Saint-Cricq, à Buzy (bas Ossau) ; deux
à Artix ; un à Poey-d'Oloron ; aucun à Soeix et à Chéraute.

De l'océan aux gaves 85 captures déclarées en 2010

En possession du timbre « migrateurs » (30 euros), un petit millier de pêcheurs à la ligne ont
déclaré la capture de 85 saumons, en 2010. Soient 73 prises sur le gave d'Oloron, 8 sur le
Saison (Soule) et 4 sur la Nive. Les pêcheurs professionnels de l'estuaire ont, quant à eux,
piégé 500 spécimens, au lieu de 2 000 une année normale. Quant aux prélèvements des
fileyeurs de Capbreton et Tarnos dans le golfe de Gascogne, c'est le « mystère total » comme
le déplore Michel Maumus, naguère en charge du dossier au Conseil général. « Leur pêche
d'interception, il y a quelques années, est devenue une pêche organisée avec des filets
performants. »

Peut-on espérer un meilleur exercice que les deux précédents, sinistrés ? Il est trop tôt pour
le dire, puisque la saison du saumon bat vraiment son plein entre la mi-avril et juin. Mais de
bons échos remontent aussi de l'estuaire de l'Adour, par les pêcheurs professionnels.

Pente ascendante

« On commence à voir quelques saumons ; on sait qu'il y a du poisson qui remonte. Il s'en
prend actuellement sept ou huit par jour par les pêcheurs d'estuaire », rend compte Dominique
Mahaut, de Saint-Martin-de-Saignanx (40), président du Syndicat des marins pêcheurs de
l'Adour.

Présentement, ces derniers sont davantage absorbés par la pêche au filet de la lamproie : «
On n'est pas encore concentrés sur le saumon, mais le peu de poissons que prennent ceux qui
n'ont pas la vente de la lamproie attrapent de beaux poissons, autour de 6 kilos. »

Le plaisir des uns est le métier des autres, mais pêcheurs à la ligne du gave d'Oloron, d'Aspe
ou du Saison (Soule) et pêcheurs d'estuaire ont partie liée : quand les seconds font grise mine
en aval, les premiers ne touchent pas grand-chose en amont. Ce fut encore le cas l'année
dernière. À la ligne, selon plusieurs techniques de pêche : au devon, à la cueillère ondulante,
au ver, à la mouche, etc., les captures de saumons se font essentiellement sur le gave
d'Oloron. « La population du gave de Pau est en cours de restauration », indique Fabrice
Masseboeuf, chargé d'études à la Fédération départementale de pêche des Pyrénées-
Atlantiques.

Le saumon de printemps

M. Masseboeuf confirme que c'est bien du saumon de printemps qu'on voit remonter dans
l'estuaire de l'Adour, depuis fin février. Il peut avoir 4 ou 5 ans, dont deux ou trois hivers en
mer. Voilà plus d'un siècle qu'il n'y a plus de saumons en amont de Pau. Mais, 20 kilomètres en
aval, la station de comptage vidéo d'Artix a vu passer l'année dernière 340 représentants de
l'espèce, ce qui constitue un record… relatif. C'est aussi sur le gave d'Oloron, entre Oloron-
Sainte-Marie et Arudy que se trouve 80 % de la zone de reproduction habituelle du bassin de
l'Adour : « Là, la population se reproduit très bien, toute seule est-on tenté de dire. » On y
capture de nombreux tacons, ces jeunes saumons n'ayant jamais vu la mer, plus agressifs que
la truite et qu'un bon pêcheur sait aisément distinguer de celle-ci.

La dévalaison est fatale à 30 % des juvéniles

La montaison (1) sur le gave d'Oloron ne pose plus de problème insurmontable - il n'en va pas
encore de même sur le gave de Pau -, grâce aux aménagements réalisés (passes à poissons).
En revanche, la dévalaison est meurtrière pour les smolts, ces salmonidés juvéniles qui rêvent
de descendre jusqu'à l'océan et d'y vivre leur vie de saumon… 30 % n'échapperaient pas aux
turbines des centrales. La casse serait encore pire sur la gave de Pau (de l'ordre de 50 %). Et
le sort des anguilles serait moins enviable encore.

Comment la remontée du saumon vers les frayères évolue-t-elle ? Manifestement, moins bien
que les tenants des plans de gestion ne l'eussent espéré, au travers de la mission Pêche 64
notamment.

Ce guide de pêche fixé dans le Béarn depuis une douzaine d'années n'en fait pas mystère : «
Vu sa faible quantité dans le gave, considère-t-il, je n'accompagne plus de clients à la pêche
au saumon. Libre à eux d'y aller seuls, au petit bonheur… En revanche, s'ils veulent apprendre
la gestuelle et la technique de la pêche à la mouche, en rêvant de pêcher en Écosse ou en
Irlande, là c'est autre chose… » Ce professionnel, qui facture son art 180 euros la journée, en
fait une question d'honnêteté.

(1) Remontée des saumons en eau douce, jusqu'à leur lieu de reproduction.
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Re: [ 2011 ] SO du jour

Messagepar STC » 13 avr. 2011, 09:34

http://www.sudouest.fr/2011/04/13/arase ... 65-658.php

Jonzac /Arasement des digues sur l'estuaire : c'est non !

Elle prend fermement position contre l'éventualité de la création d'une zone
d'expansion de crues.

Image
En Haute-Saintonge, cinq communes sont en bord d'Estuaire : Saint-Bonnet, Saint-Sorlin-de-
Conac, Saint-Thomas-de-Conac, Saint-Dizant-du-Gua et Saint-Fort-sur-Gironde.
photo M.-L. G.

C'est suite à un exposé remarquable du maire de Saint-Dizant-du-Gua, Jean-Marie Boireau qui
suit le dossier depuis 2006, que les élus du Conseil communautaire de Haute-Saintonge, réunis
mardi soir, ont été amenés à se prononcer, à la demande du préfet de la Gironde, sur le Sage
Estuaire (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux).

Rappelons que ce dossier porte sur 3 700 km², concerne 185 communes et un bassin de
population de 900 000 habitants sur deux rives et deux départements. Il est porté par le
Smiddest (1). À force d'études et de réunions depuis cinq ans, portant sur l'eau et
l'environnement sous des aspects divers (lire ci-dessous), on en est arrivé à huit thématiques
abouties sur neuf.

Huit dossiers lourds qui feront l'objet d'une enquête publique devant s'ouvrir bientôt (hors
risques climatiques liés aux submersions marines). Car c'est bien ce dernier dossier qui pose
problème. La Commission locale de l'eau (2) doit encore travailler sur la question pour contrer
les hypothèses émises par le cabinet d'études Sogreah et contre lesquelles une majorité de
collectivités s'élèvent déjà, alors qu'elles sont appelées par le préfet de Gironde à donner leur
avis sur les dossiers aboutis.

« Farouchement contre »

Si la Communauté de communes (CdC) de Haute-Saintonge « souscrit aux huit premières
propositions du Sage », elle disjoint catégoriquement celles relatives à l'arasement des digues
dans le cadre des risques climatiques. Car, indique Claude Belot (que le préfet de Gironde
souhaite recevoir), « il a été défini des zones d'ennoyage s'étendant de Blaye jusqu'au nord
de Mortagne. Nous sommes farouchement contre cette définition d'espaces qui seraient alors
ouverts à la mer ». Il est finalement question de créer des zones d'expansion de crues visant
à protéger des secteurs plus habités, comme la Communauté urbaine de Bordeaux.

« Respecter l'Histoire »

Selon Jean-Marie Boireau, « les digues seraient abaissées dans certains endroits, ce qui
permettrait aux crues d'entrer sur les terres. Or, on dit partout que le changement climatique
fait monter le niveau des océans. C'est une des raisons pour lesquelles on refuse l'arasement
des digues, sans compter le risque de voir se reproduire à la Centrale nucléaire du Blayais ce
qui s'est déjà passé en 1999 ainsi qu'au Japon ». À son tour, le président de la Communauté le
rappelle : « Ces terres étaient autrefois des zones marécageuses et paludéennes qui ont été
conquises pour la régulation du fleuve et aménagées. En mille ans, elles sont devenues des
terres utiles aux hommes. Des gens y vivent, des ports y ont été aménagés, les Callonges,
Vitrezay, Maubert, Mortagne. Or, je crois qu'il faut toujours respecter l'Histoire et ce ne sont
pas les compensations financières qui pourront quoi que ce soit ».

Celui qui, en tant que président du Conseil général de Charente-Maritime à l'époque, coprésida
le Smiddest en alternance avec Philippe Madrelle, président du Conseil général de la Gironde,
insiste : « Revenir à des marais paludéens, avec des eaux stagnantes, c'est prendre un risque
sanitaire majeur. En décembre 1999, on se battait contre les effets ravageurs de la tempête,
certains se sont battus pour sauver leur vie et on est passé tout près de la catastrophe à la
centrale du Blayais ».

(1) Syndicat mixte interdépartemental pour le développement durable de l'Estuaire de la
Gironde. (2) Elle rassemble les acteurs du territoire concernés par le Sage Estuaire (élus,
socioprofessionnels, associations environnementales, collectivités territoriales).
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Re: [ 2011 ] SO du jour

Messagepar STC » 15 avr. 2011, 09:22

http://www.sudouest.fr/2011/04/15/un-es ... 81-736.php


Un espoir pour l'esturgeon européen
Une trentaine de captures ont été déclarées l'an passé.

Début mars, un esturgeon était capturé accidentellement en rade de Brest. L'année dernière,
ce sont 30 spécimens qui avaient été pris dans des filets, tout aussi fortuitement, dans
l'estuaire de la Gironde et les pertuis charentais.

Ces poissons, d'une taille comprise entre 25 et 75 centimètres, avaient été relâchés vivants
par les pêcheurs professionnels. Avec ces captures, c'est l'espoir de restaurer une population
d'esturgeons qui renaît. Il reste faible, contenu par la prudence de ceux qui, depuis 2007, ont
suivi les lâchers dans la Garonne et la Dordogne, où 135 000 alevins et juvéniles ont été mis à
l'eau par étapes. Mais il est fondé, comme l'explique Nicolas Michelet, missionné par le Comité
national des pêches maritimes pour sensibiliser les pêcheurs professionnels à ce programme
sur l'esturgeon européen, une espèce protégée dont la pêche, la vente, le transport sont
strictement interdits.

« Les lâchers sont un succès »

Selon Nicolas Michelet, ces « prises accidentelles montrent que les lâchers qui ont été réalisés
sont un succès. Une grosse interrogation était de savoir si les alevins survivraient dans
l'estuaire de la Gironde. Ils ont survécu, même si l'on ne peut pas dire dans quelle
proportion. »

La conjugaison de deux éléments autorise le chargé de mission à cette affirmation. La Gironde
était jusqu'alors le dernier estuaire où subsistaient quelques centaines d'esturgeons
européens, dont l'aire de réparation s'étend du golfe de Gascogne à la Scandinavie, le seul
estuaire où des lâchers ont été réalisés. Le second élément du raisonnement est que la taille
des prises accidentelles et les lieux des prises sont conformes au cycle de vie de l'espèce qui,
lorsqu'elle atteint 3 ans, commence à quitter les eaux estuariennes pour leur préférer les fonds
côtiers.

Les migrateurs qui ont été pris dans les filets, le plus souvent des engins de pêche à lamproie
et au maigre, pourraient donc appartenir au premier contingent mis à l'eau en 2007 par le
Cemagref. Et l'on ne parle ici que des prises déclarées.

Comportement responsable

Dans la mesure où les pêcheurs remettent à l'eau ces poissons vivants, les captures
deviennent donc des repères intéressants pour le suivi scientifique des lâchers. Nicolas
Michelet, soulignant le « comportement responsable » de ces professionnels, les incite à
relever la date et le lieu de capture, à préciser la taille, et si possible le poids du poisson.

Il les invite enfin à transmettre ces informations à leur réseau professionnel (organisations de
producteurs, criées, comités des pêches, etc.), ou à l'équipe scientifique du Cemagref dont le
numéro d'appel d'urgence est le 05 57 49 67 59.
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Re: [ 2011 ] SO du jour

Messagepar STC » 22 avr. 2011, 15:55

lundi matin, en repartant vers le sud :wink: nous sommes
passés à l'animalerie au nouveau brico marché à Jonzac ...
ils vendent des bébés esturgeons (de sibérie) ... en espérant que quelques
idiots, au QI douteux, n'en déversent pas dans la rivière :evil:
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